Par où commencer …
Il y a quelques semaines, j’ai eu 30 ans (le 14 septembre 2020). J’aurais voulu que cet article sorte le jour J mais visiblement je manque toujours d’organisation haha ! Mais ça fait au moins 2 ans que j’ai cet article en tête car je n’ai pas seulement envie de vous dire les souhaits pour ma trentaine. Je veux faire un bilan de ma vingtaine, donc oui gros programme !
Dans un premier temps, j’aimerais vous dire que ces 30 ans m’ont mis un coup coup de pression. Depuis un an, je me disais qu’il fallait que j’entre dans la trentaine avec un certain épanouissement. Qu’il fallait que je prenne ma vie en main. Qu’il fallait que j’accomplisse des choses. Ça a tout bouleversé dans ma tête et je crois pouvoir dire aujourd’hui que ça a participé à me faire prendre des décisions impulsives. A voir si j’ai des remords par rapport à ces décisions dans l’avenir mais il paraît qu’il vaut mieux avoir des remords que des regrets, au moins j’ai fait les choses que je devais faire à l’instant T. Bref, passons au constat de ma vingtaine vu que j’ai sauté à pieds joints dans mes 30 ans.
L’heure du bilan de la vingtaine
Je n’en reviens pas que 10 années soient aussi vite passées. Ma vingtaine est révolue, je peux donc revenir dessus. Elle a été globalement marquée par mes années d’études puisque j’ai terminé mon cursus à l’université assez tard, à 26 ans. J’avais commencé mon diplôme à 21 ans puisque je m’étais réorientée plusieurs fois suite à mon baccalauréat (je pense faire un article à ce propos sur mon Patreon). J’ai eu tout de même mes premières expériences professionnelles dans mon domaine (la communication). Mais ces dix dernières années ont rimé également avec ami.e.s, fêtes étudiantes et rigolades. J’ai partagé aussi cette décennie entre célibat et couple avec deux histoires qui m’ont fortement marqué. Et à 25 ans, j’ai vécu l’un des événements les plus durs de toute ma vie, la perte de ma maman dans un accident. Je n’aurais jamais cru vivre cela si jeune. Par conséquent, qu’est-ce que je retiens de cette décennie, des bonheurs et des épreuves qu’elle m’a apporté ?
N’avoir aucun pourvoir et aucune maîtrise de la vie
Pour commencer, je dirais que ma vingtaine, et notamment la perte de ma mère, m’ont appris que l’on avait aucun pouvoir sur la vie. Que ce soit pour les événement tragiques comme les petits projets que l’on a au quotidien. Il faut accepter, pour ces derniers, que ce n’est pas grave si tout ce que l’on a prévu ne se passe pas comme on l’aurait souhaité. J’ai aussi appris à relativiser car rien de pire ne peut m’arriver à part la perte d’un être aimé, ça c’est quelque chose de « grave » justement. Ce sont les événements comme celui-ci qui comptent mais aucun cas les petits tracas du quotidien qui seront vite oubliés dans le futur. Alors autant mettre mon énergie dans les choses qui comptent et qui me rendent heureuse. Ça m’a fait aussi prendre conscience que la vie pouvait être très belle comme très violente, avec ses événements tragiques. Mais elle mérite d’être vécue, car rien n’est plus beau que d’être seulement envie.
Je fais le travail de mes rêves
C’est donc pour cela que je me suis mise à mon compte. J’ai souvent lu que lorsqu’on faisait le métier de ses rêves, on avait l’impression de ne pas travailler. Et je n’avais pas envie de m’enfermer dans quelque chose qui ne me conviennent pas. Au décès de ma mère, j’ai ressenti cette urgence à vivre et à faire ce qui était important à mes yeux. Alors j’ai décidé de me mettre à mon compte, il y a eu différentes étapes mais aujourd’hui je suis fière de dire que je suis photographe et créatrice de contenu. La créativité est au coeur de mon métier et elle est essentielle à mes yeux pour que je me sente épanouie. Mener mes petits projets comme par exemple la production de mon calendrier me rend tellement heureuse. Et dans ce job de rêve, je suis très libre ! Je peux prendre les décisions que je souhaite et vraiment, cette liberté n’a pas de prix !
Je me suis affirmée
Au début, j’avais peu confiance en moi. Si vous suivez sur Instagram vous avez peut être l’impression que je manque encore de confiance en moi dans mon travail mais je vous assure que je me suis améliorée haha. Je veux être payée le prix juste, je ne veux pas travailler gratuitement, je sais quelle est ma valeur (en tant que photographe notamment). En bref, j’ai pris confiance en moi, même si j’ai encore un long chemin à parcourir (je reparlerais pour les souhaits de ma trentaine) ! Mais au-delà du monde du travail, j’ai appris à m’affirmer en tant qu’individu. Pas encore face à tout le monde mais il y a une nette amélioration comparé au début de ma vingtaine où quand j’y repense, j’étais vraiment une enfant. Et je suis heureuse aussi de m’être affirmée avec mon corps et notamment à travers mon style vestimentaire qui est reconnaissable je trouve !
J’ai une vraie opinion
Avant j’avais l’impression de ne m’intéresser à rien et ne pas avoir d’opinion. Mais durant ces 10 années, je me suis forgée et affirmée comme dit auparavant. Je pense que c’est aussi au contact des autres et de lectures que j’ai appris à avoir un réel avis sur des événements, sur la politique, etc. J’en parle peu sur les réseaux sociaux mais je suis l’actualité de près. Et je me suis aperçue qu’il y avait des sujets qui me touchaient particulièrement, comme le féminisme, notamment durant ces 3 dernières années. Ça me donne de la hargne et l’envie de me battre pour des choses qui comptent et qui sont importantes à mes yeux. J’ai l’impression que ça m’a aidé à me révéler à moi-même …
J’ai compris qui j’étais
En plus d’avoir des opinions affirmés, j’ai compris aussi comment je fonctionnais. J’ai totalement intégré le fait que j’étais une hypersensible. J’ai eu l’impression d’ailleurs que mon hypersensibilité avait empiré ces dernières années mais en fait non. C’est juste que j’en ai pris pleinement conscience, avec toutes ses variations et nuances … Alors maintenant j’essaie de vivre avec et de comprendre mes émotions même si parfois c’est dur de les décrypter. C’est encore compliqué de faire comprendre ce trait de ma personnalité qui est vraiment central chez moi. Je suis émotions, quand ça va bien, j’explose de joie, quand ça va mal, je ne ressens que douleur. Et d’ailleurs ça m’a fait prendre conscience de la chose la plus importante : déceler quand je ne vais vraiment pas bien et faire quelque chose, ne plus rien mettre « sous le tapis ».
Prendre soin de ma santé mentale
C’est sans doute la chose la plus dure. Mais entre mon hypersensibilité, mon manque de confiance et les événements compliqués que j’ai eu à vivre, il était temps de prendre soin de ma santé mentale. Et je dois vous avouer que ça ne s’est fait que récemment, et encore j’ai l’impression de ne pas tout à fait y arriver. J’ai terminé ma vingtaine par une pandémie mondiale et une rupture. Donc autant vous dire que je me suis sentie sombrer et là j’ai compris qu’il fallait que quelqu’un m’aide. Je vois depuis quelques mois une psychologue. J’en parlerais peut-être plus en détails un jour, quand j’aurais fait du chemin de ce côté-là. Mais je suis heureuse de me dire que je veux être bienveillante avec moi-même et que j’ai compris que prendre soin de moi commençait par dire quand cela ne va pas.
Encore des souhaits pour la trentaine ?
J’ai écrit beaucoup de choses pour ma vingtaine mais bien sûr j’ai beaucoup de souhaits d’accomplissement pour ma trentaine aussi.Et certains sont totalement liés à ce que j’ai commencé à mettre en place durant ma vingtaine. J’ose espérer que je vais traverser cette décennie avec plus d’apaisement et de tranquillité. J’espère être encore plus forte et réaliser mes rêves. Mais voici les choses qui me tiennent à coeur d’améliorer durant ces 10 nouvelles années :
Une relation à la nourriture apaisée
C’est le premier point qui me vient car en ce moment je suis en plein dedans. Au lieu de faire un énième régime ou « rééquilibrage alimentaire » (aka un régime déguisé), j’essaie l’alimentation intuitive. Je consulte une nutritionniste spécialisée dans le comportement alimentaire et c’est la femme la plus douce qui m’est été donné de rencontrer. Au lieu de m’empêcher de manger un aliment, elle me fait comprendre pourquoi mon corps me le réclame et pourquoi j’en ai envie. Et dans mon cas c’est parce qu’il y a un besoin émotionnel. Bref, ça m’ouvre les yeux et je vous en parlerais surement par ici ou dans une vidéo mais ça me fait beaucoup de bien. J’espère que c’est la base d’une relation apaisée à la nourriture après 15 ans de poids yoyo. Peut-être que, grâce à ce suivi, je vais pouvoir enfin me stabiliser et me sentir totalement sereine face à la nourriture : ne plus manger mes émotions mais manger avec émotions.
Avoir un meilleur rapport à mon corps
Le regard que j’ai vis à vis de mon corps est directement lié à ce que je disais précédemment. Si j’ai une relation plus apaisée à la nourriture, mon corps ne subira pas toutes les émotions qui me traversent. Mon poids en sera beaucoup moins affecté et par conséquent je me sentirai beaucoup mieux dans ma peau. Actuellement je pèse un poids que je n’avais jamais atteint et je me suis sentie tellement mal en découvrant cela. C’est oublié que j’ai traversé des moments très durs et que la nourriture m’a aidé (m’aide) à tenir. Cependant, pendant ma vingtaine j’ai quand même clairement fait du chemin dans ce rapport au corps. J’ai appris à m’aimer, à me trouver belle et à penser que le poids ne définissait pas ma beauté. Je me suis énormément épanouie avec la mode, j’ai essayé différents styles. Mais il n’empêche pas que j’ai toujours l’impression que ma confiance en moi est directement connectée à mon poids. Je refuse de laisser cela continuer, je veux vraiment me détacher de tout cela et chérir vraiment ce corps qui me porte tous les jours.
Avoir une stabilité financière
Comme je l’ai dit plus haut, j’ai la chance de faire le métier que j’aime et de réaliser plein de projets différents qui m’épanouissent professionnellement. En revanche je n’ai toujours pas de stabilité financière et je ne peux pas épargner comme je le souhaite. Et arriver à 30 ans, je commence à ressentir de la frustration car je ne peux pas faire de crédit pour une voiture un peu plus moderne ou même commencer à réfléchir à l’achat d’un appartement ou d’une maison. J’espère que ça viendra, je vais encore plus travailler pour y parvenir. Sinon je réfléchirais à reprendre une activité salariée, tant que c’est en accord avec mes souhaits du moment (le plus important comme je l’ai dit précédemment : m’écouter).
Avoir ce n’est pas être
J’avais lu cette phrase quelque part et je l’avais trouvé superbe. Posséder des choses ne nous construit pas. Nous sommes dans une société de consommation hyper matérialiste mais les objets n’ont pas à nous définir. J’avoue que j’achète encore des choses qui ne sont parfois pas raisonnées mais beaucoup moins comparé à mes 20 ans. Et comme je l’ai dit, j’ai donné la priorité à ma santé mentale cette année et ça m’a beaucoup aidé. C’est le meilleur investissement que je puisse faire, au lieu d’acheter compulsivement des vêtement ou de la nourriture pour panser les plaies du coeur et de la tête. Alors je ne dis pas que je pourrais vivre dans une Tiny House avec le strict minimum mais j’ai appris à réfléchir mes achats, que ce soit pour moi ou pour la planète.
Laisser les gens rentrer dans ma vie
Durant mes années à la fac je n’avais aucun mal à me faire de nouveaux amis et aller vers les autres. Le décès de ma mère m’a beaucoup replié sur moi-même à partir de mes 25 ans. J’ai eu beaucoup de mal à laisser rentrer dans ma vie mon ex-copain mais je ne saurais pas dire pourquoi. Peut-être la peur de perdre encore quelqu’un que j’aime … Mais depuis quelques mois je me suis aperçue que le contact humain me manquait énormément. J’ai eu envie de faire partie d’une grande bande d’amis façon Friends. J’ai peu d’ami.e.s et la plupart sont loin du coup j’ai appris à m’ouvrir à d’autres personnes. Et ça m’a fait beaucoup de bien, je parle d’ailleurs mes « belles rencontres de 2020 » sur Instagram (un des rares points positifs de cette année). Je me dis aussi qu’il faudrait que j’arrête d’avoir peur côté relation amoureuse. Je mets toujours beaucoup de temps à me dire que je peux être complètement avec quelqu’un, que je suis sûre que c’est ce que je veux … Bref encore beaucoup de travail à faire du côté des relations mais je tiens le bon bout !
Laisser les gens sortir de ma vie
C’est sûr que m’ouvrir à d’autres personnes me fera du bien. Car en tant qu’individu on change, on ne va pas vers les mêmes personnes suivant notre âge et notre évolution. Par conséquent, il faudrait que j’accepte aussi qu’il y ait parfois des « ruptures amicales » tout comme des ruptures amoureuses. C’est vraiment dur de me dire ça car chaque individu que je fais rentrer dans ma vie compte énormément pour moi. Mais parfois la vie fait que l’on s’éloigne pour différentes raisons. Il faut juste que j’apprenne accepter cela pour mieux avancer et ne pas regretter une époque ou des moments. Il faut garder les souvenirs précieusement dans son coeur sans qu’ils nous empêchent d’avancer.
M’éloigner des réseaux sociaux
Ça fait 10 ans non stop que je suis connectée sur le réseaux sociaux. Et en plus, c’est devenu en partie mon métier puisque je travaille aussi en tant que créatrice de contenu. Je me suis dit qu’à partir de 2021 je prendrais de vraies pauses loin des réseaux sociaux, notamment pendant l’été. J’ai toujours cette peur d’être oubliée, de bousiller mon engagement et l’algorithme, etc. Mais pour ma santé mentale, il va falloir que je m’éloigne et je pense que ça me ferait le plus grand bien. Surtout que je me compare énormément, quand je vois ces influenceuses avoir la maison parfaite, gagner leur vie de fou, se marier, avoir un bébé, etc. Je suis prise d’angoisses en ayant l’impression d’être nulle et de ne pas avancer. J’ai déjà commencé à masquer certains comptes ou à me désabonner pour mon bien-être et ça marche ! Rien de plus important que d’avancer à son rythme et ne pas se laisser culpabiliser par le contenu que l’on voit.
Dire totalement adieu au syndrome de l’imposteur
Ça peut paraître en opposition avec ce que je disais précédemment par rapport à l’affirmation de soi mais comme je l’ai dit le chemin est encore long. A 20 ans je n’osais rien faire. J’étais paralysée par la peur et le jugement d’autrui mais surtout la peur de mal faire. Donc il y a quand même eu une évolution par rapport à ça ! En effet, je me suis lancée à mon compte et que j’ai réussi à dépasser certaines craintes. Mais je voudrais être totalement débarrassée de cette petite voix dans ma tête qui me dit que « bof ce n’est pas terrible ce que tu fais ». J’ai bon espoir qu’elle disparaisse à force d’avoir de l’expérience et de voir ce que je suis capable d’accomplir. Et quand je vois le soutien que j’ai dans ce que je fais, c’est que je fais un bon travail et que ce que je fais plait. Ça m’aide beaucoup !
Ne plus avoir peur
Cela fait un peu écho à ce que je disais juste avant mais aussi au début de l’article. J’ai constamment peur, peur de ne pas contrôler les choses, peur de me planter, peur de prendre des risques, peur de ne pas dire ce que je penses, peur de dire non, peur de blesser, peur de regretter, etc. Du coup je prends peu de risques et je n’aime pas sortir de ma zone de confort. Ça m’épuise d’être tout le temps dans cet état car j’aimerais totalement dire adieu de cette peur … de vivre. Je commence petit à petit à tenter d’aller sur de nouveau terrain, à me lancer dans des choses que je n’aurais jamais faites avant. Constat : ça fait du bien d’oser et de s’alléger de ce poids qui pèse sur mes épaules !
30 ans, ce n’est pas la fin …
… mais le commencement d’une nouvelle ère. A la fin de ma vingtaine j’avais l’impression qu’avoir 30 ans était quelque chose d’horrible. Que c’était la fin de quelque chose, de l’insouciance et de la légèreté. Qu’il y avait comme une urgence à entrer sereinement dans la trentaine et d’avoir des réels projets. Notamment parce que la société met beaucoup de pression sur les trentenaires. Il faut qu’ils aient une carrière, une famille, une maison, etc. Les femmes subissent encore plus cette pression, ce que je ne peux plus supporter. Alors non ce n’est pas la fin de la légèreté, je n’ai pas à écouter et suivre le discours sociétale. C’est à moi de construire la trentaine qui me fait rêver. Mais ce n’est pas pour autant que je dois tout bouleverser comme je l’ai fait par peur de la trentaine. Aujourd’hui je vis beaucoup mieux le fait d’avoir 30 ans que l’attente de passer ce cap (comme je le disais au début de l’article).
Ce qui m’importe le plus : être heureuse et être en paix, peu importe le chemin que j’ai décidé de prendre. Je suis prête à accueillir ces nouvelle décennie et à en faire quelque chose de beau, du mieux que peux.
Et vous ? Avez-vous fait un bilan à vos 30 ans ? Est-ce que ça vous a fait « drôle » d’avoir eu 30 ans ? Dites-moi tout !
9 Commentaires
Très bel état des lieux. Je me suis reconnue dans plusieurs traits de caractère. Mes 30 ans s’éloignent de plus en plus (bientôt 37 ans 😳) mais j’ai des souhaits similaires aux tiens. Mon DM t’est ouvert si besoin. Je sais combien échanger avec des personnes qui ont les “mêmes” problématiques que soi est important.
Je te souhaite de trouver l’apaisement et la paix avec toi-même ! ❤️
Coucou Camille
Je te souhaite que tout tes projets se réalisent ! 30 ans c’est le début comme tu dis et j’espère que la vie t’offrira ce qu’elle a de meilleur. Ne doutes pas de tes compétences car tu es une photographe talentueuse !
Quel article génial ! Je n’ai que 22 ans mais je prends tous tes conseils et ton expérience ! J’espère que tes rêves se réaliseront ❤️
Coucou Camille, je te suis depuis peu mais je me retrouve tellement dans cet article. Pourtant je n’ai pas encore 30 ans mais je m’y rapproche… tout doucement.
Je comprends tellement cette pression, cette charge que nous envoie la société pour entrer dans un certain moule qui nous correspond plus au moins voire pas du tout. A la lecture de ces mots j’ai envie de me faire davantage confiance et doser vivre la vie que je décide de vivre. Merci et bravo pour ce que tu transmets. 😍
Hello Camille!
Très émouvant & intéressant cet article. Tu es vraiment très inspirante! Je te souhaite le meilleur pour tes prochaines années, j’espère que tu rempliras tous tes objectifs. Pour ma part, les 30 ans sont encore un peu loin (j’ai 22 ans) mais je sais que ça va arriver vite!
Ah, et la dernière photo est tout simplement SUBLIME! J’adore! <3
Un bilan très complet.
Je te souhaite le meilleur pour ces 10 prochaines années. Tu mérites tellement.
Je n’ai pas vraiment fait de bilan pour mes 30 ans, mais je sais que j’avais fait quand même un point dans un coin de ma tête.
J’étais Maman depuis 7 ans, j’avais une belle maison, mais une piètre image de mon corps et un burn out pro qui était prêt à m’exploser en pleine figures quelques semaines après.
J’ai maintenant 33 ans et chaque année je fais un petit bilan et me disant que j’espère vraiment être à la hauteur de mes attentes.
En tant qu’hypersensible je suis très dure avec moi-même et en même temps je trouve que je manque de persévérance … bref je suis toujours aussi bavarde aussi !
Hello Camille ! Ton article me parle beaucoup puisque j’ai eu 30 ans cette année, et moi-même j’ai publié un article il y a peu de temps. Cette année est compliquée, ça a été un vrai cap pour moi ces 30 ans, on se remet bcp en question et moi aussi j’ai commencé une thérapie car ça n’allait pas… quoi qu’il en soit tu es une femme magnifique, forte et tu peux tout accomplir ! Moi j’y crois à 100% !!
Je pense qu’il est nécessaire de faire un bilan lors de certains cap, on fait le point et on se fixe des objectifs. Je me reconnais dans certains points (je fête les 28 en fin d’année) et je comprends ta façon de voir la vie. Je te souhaite le meilleur pour les années à venir, de la joie, de la bienveillance et de la réussite. Ne te mets pas la pression, sois toi même !
Les photos sont très réussies, ce jeu avec le vent met visuellement l’accent sur votre énergie.
Pour moi à trente ans on est encore toute jeune, et tout reste à construire :) Bon courage, et bon anniversaire.